Quel bonheur de monter et descendre ces 6 étages avec Momo, de connaître les voisins de l’immeuble et de s’attacher à Madame Rosa.
Quels malheurs que leur vie si précaire…
Mais quel bouleversement que la langue de Gary !
Quelle délectation pour un lecteur… et pour un écrivain, quelle admiration pour une telle perfection !
Et quel encouragement à travailler encore !
À mon panthéon des auteurs en mesure d’écrire à hauteur d’enfant et de faire jaillir d’aussi puissantes émotions, j’emmène Romain Gary / Émile Ajar aux côtés de J.D. Sallinger, et les prie tous les deux (trois !) de m’envoyer quelques bonnes ondes !
S’il vous plaît !
Merci messieurs !